dimanche 4 décembre 2011

Très belle journée Jeanne d'Arc

Je voudrais remercier tous ceux qui sont venus pour notre premier colloque Jeanne d'Arc. Le Centre Bernanos, avec son magnifique auditorium et la salle Péguy était trop petit pour accueillir le public qui s'y pressait cet après midi.

Sur Jeanne, les interventions se sont succédées : magnifiques et si différentes les unes des autres ! Anne-Cécile avait tout prévu, alliant dans un même élan le faire savoir et le savoir faire : vous avez été nombreux à répondre Présent. Nos intervenants (certains d'entre eux en tout cas qui me l'ont dit) n'en revenait pas ; sur place, l'organisation était très sécurisante et... nous avons terminé dans les temps : pas de conférences trop longues. Une demi-heure chacune ; et chacun a donné son jus, tout son jus, avant de... passer le micro, au suivant. Les intervenants avaient chacun un accent unique pour évoquer la Pucelle. Des actes seront très vite à votre disposition, si Dieu veut.

Je vous parle de cette belle réussite, ce n'est pas pour un satisfecit. C'est pour vous annoncer que, cette année, chaque mois nous reviendrons sur un aspect de la geste de Jeanne au cours d'un colloque.

Deux dates sont d'ores et déjà à retenir : le 7 janvier, pour l'anniversaire de Jeanne, nous célèbrerons la messe dans la cathédrale d'Orléans. Et le 14 janvier, nous reviendrons à l'Espace Bernanos pour parler de Jeanne d'Arc, et cette fois c'est le féminisme chrétien que nous aborderons. On nous rebat les oreilles avec la théorie du genre. Il faut essayer de comprendre ce que nous avons à proposer - avec Jeanne - sur un sujet si fondamental.

1 commentaire:

  1. Moreno (pas Nadine, hein?)4 décembre 2011 à 09:58

    "On nous rebat les oreilles avec la théorie du genre."

    Qui est ce "on", qui est ce "nous"? Dans le milieu tradi, 'on' c'est souvent 'eux', les autres, les tenants d'un système médiatico-politique sensé tourner à nos dépens. Tandis que 'nous', c'est: 'nous'.

    Mais dans le cas présent, c'est 'nous' qui cassons les oreilles (je reste poli) à qui veut bien 'nous' entendre, avec cette histoire du gender qui n'existe en France que dans le buzz que nous lui assurons.

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